Florence Devaux

Florence Devaux, photographe, globe-trotteuse
Ce sont ses parents qui lui ont transmis l’amour et le respect de la Nature, la fièvre voyageuse, et son père le virus de la photographie.
Elle laisse d’abord place à l’observation et à l’émotion. La photographie vient ensuite.
Elle aime explorer de nombreux domaines en photographie, les sujets sont aussi variés que la façon de les aborder : composer avec la lumière, le cadrage, le mouvement, repérer des détails picturaux, flirter avec l’abstrait … En un mot, elle aime s’amuser et créer.
Et quand elle parvient à transmettre une émotion, celle qu’elle a ressentie ou celle que le spectateur va s’approprier en regardant l’image, Florence trouve cela très épanouissant et touchant.
Elle a une affection et une attirance particulières pour le noir et blanc.
« Je trouve qu’il permet d’aller à l’essentiel, de donner une autre dimension à l’image et souvent d’en exacerber le graphisme.
L’Afrique m’inspire. C’est dans la savane et la brousse africaine que je me sens le mieux. Respirer ses odeurs, être à l’affût de tous ses bruits, scruter sans relâche les moindres bosquets, m’imprégner de cette lumière incroyable et sentir la vie sauvage qui palpite autour de moi.
Photographier la nature, tenter de sublimer les animaux, fréquenter les parcs naturels, sont aussi des remparts contre la disparition de ces sanctuaires de la vie sauvage et contre le braconnage. En provoquant la curiosité, l’admiration, l’émotion, on crée un terrain favorable à la sensibilisation. »